Le contrôle de police virtuel           
      Un recours à vie                           
      La foire aux rumeurs                    
      Journal en ligne                       
Le gymnase se trouve au nord du centre-ville. Il surplombe donc Lausanne et depuis la place on jouit d'une vue dégagée sur la cathédrale. Comme le gymnase se trouve au centre-ville, les étudiants jouissent d'une grande variété de restaurants à l'emporter, et la tentation de boire des cafés ou de faire du shopping à la place des cours est grande ! Toutefois, la semaine a commencé de façon plutôt scabreuse, parce qu'une plaque de glace s'était formée juste devant l'entrée du container. Cette semaine, l'exposition a aussi accueilli les élèves d'un autre gymnase lausannois, le gymnase de la cité, car il n'avait pas la place requise pour installer l'exposition.
6 mars 06 Gymnase du Bugnon, Lausanne
Raphaël Khanmy, 17ans
L’exposition n’est pas assez interactive. On voit bien qu’un effort est fait, mais ça n’est pas encore assez. La simulation prend trop de place, elle éclipse le reste alors qu’elle apporte certainement moins que les autres parties… D’ailleurs, je n’ai pas lu le recours récursif ! Heureusement que l’animatrice l’a bien résumé au début !


Rosalie Chevalley, 16ans
J’ai particulièrement apprécié la simulation. Elle est captivante et pleine de couleurs. Par contre les policiers dedans m’ont énervé. Des fois, ils ne remarquent pas qu’on a fumé et d’autres fois pour des quantités moindres, ils nous arrêtent pour faire le test sous prétexte qu’on avait une conduite « bizarre ». Ca veut vraiment rien dire, c’est trop subjectif et face à eux on aura toujours tord !


Katia Borloz, 16ans
L’exposition est sympa, c’est vraiment bien fait et surtout la simulation. C’est drôle de se mettre dans la peau du personnage. D’abord j’ai fait comme je bois d’habitude quand je sors. Il m’est rien arrivé, je ne me suis pas fait coller, je ne bois pas beaucoup. La deuxième fois, j’ai beaucoup exagéré la chose, je voulais voire ce qui se passe… ça lui a coûté cher !


7 mars 06 Gymnase du Bugnon, Lausanne
Charlotte Meyer, 17ans
Le recours récursif m’a beaucoup impressionnée. C’est choquant de voire le montant de la dette. En plus, ce n’est pas seulement que le gars est fauché à vie, mais en plus il n’arrive jamais à avoir la vie qu’il veut parce qu’à chaque fois il lui manque les moyens. En plus se femme le quitte parce qu’elle ne supporte pas ça. C’est dur. Heureusement, moi je ne fume pas !


Jessica Ginffride, 18ans
Christelle Neidhart, 17ans
La simulation est bien faite. C’est bien de voire le taux d’alcool qui correspond à chaque situation. On ne savait pas par exemple que le taux dans le sang augmentait encore pendant deux heures après consommation. Du coup, dans le cas qu’on a fait, le taux augmentait au fur et à mesure et au moment où le conducteur a du souffler, son taux d’alcoolémie venait de dépasser les 0,5%o. Ca fait un peu de suspens. Là c’était drôle, mais pour de vrai quand on ne sait pas, ça doit faire mal !


8 mars 06 Gymnase du Bugnon, Lausanne
Djouna Vodoz, 17ans
L’histoire de Sandro fait beaucoup réfléchir. C’est fait de telle façon qu’on se rend bien compte de toutes les conséquences. On voit toutes les répercussions. C’est bizarre de voire comment ça tourne, alors qu’au départ c’est vraiment une histoire banale : il fume un peu trop, les parents sont pas contents, après il fume un peu moins, juste un joint de temps en temps. En plus, il traîne aux mêmes endroits que nous. Sandro, c’est vraiment nous !


Adrian Fernandez, 17ans
Le thème de l’exposition m’a bien fait rire ! La plupart des gens qui fument que je connais, quand ils commencent à conduire, ils disent qu’ils ne fumeront jamais au volant, mais au fur et à mesure, ils se relâchent. Ici dans la simulation, on fait exactement là même chose : le premier essai, on n’en met pas trop, aussi parce que nous a dit que sinon c’était game over, et après à chaque fois, on augmente un peu. C’est comme dans la vraie vie !


Maude Emery, 17ans
L’exposition m’a appris plein de choses. En particulier, je n’étais pas du tout consciente que le cannabis restait 12heures dans le sang. Quand on voit les conséquences que ça peut avoir, c’est incroyable qu’on ne le sache pas ! Sandro le paie jusqu’à la fin de sa vie. C’est pas du tout une petite bêtise comme on en a trop souvent l’impression. Personnellement, je ne fume pas, mais j’ai plein de copains qui le font et je trouve bien qu’on mette les choses en place comme ça. Le cannabis au volant, c’est pas mieux que l’alcool !


9 mars 06 Gymnase du Bugnon, Lausanne
Frédéric Cimbali, 18ans
Le dialogue à l’entrée é tait trop drôle. Je me demande si les gens qui prétendent qu’on peut mieux se concentrer avec 1-2 joints sont sérieux… En tout cas, c’est hallucinant qu’on puisse penser comme ça ! Par contre c’est dommage que la simulation ne soit pas plus réalise. Avec 1%o, on ne répond plus normalement. Il aurait fallu qu’il titube et qu’il soit beaucoup plus impertinent !


Raphaël Steiner, 17ans
L’exposition était top petite, il y aurait dû y avoir plus de choses. En particulier, une simulation, ça n’était pas assez. On aurait aussi dû pouvoir contrôler plus de paramètres. Par exemple, on devrait pouvoir refuser de s’arrêter et faire une course poursuite avec les flics ou alors leur casser la figure ! Mais de toute façon, le conducteur, on l’a défoncé !


Séverine Gruber, 21 ans
L’ambiance est très différente d’un gymnase lausannois à l’autre. Les différences vont du look vestimentaire à la dynamique de classe et même jusqu’aux professeurs. Cette fois, j’étais vraiment en ville, avec les avantages et les désavantages, mais comme je suis plutôt citadine !


retour